Album photos - Images
Cette toile est inspirée d'un grand nombre de photos prises sur le patio et de divers angles. Au départ, il devait y en avoir de toutes les couleurs, mais en jouant avec le cadre, j'ai éliminé un grand nombre d'entre elles.
Nouvelle technique: créer le fond et essuyer pour les taches pâles; puis gratter pour obtenir dès le début les brins de foin et menues branches.
Je rafolle des fleurs des champs en particulier, les marguerites. Je les aime sauvages entourées d'autres plantes indigènes comme au temps où j'allais cueillir les petites fraises.
L'idée de cette toile m'est venue lors d'un symposium à St-Anselme près d'une maison de religieux. Il y avait une plate-bande de pavots. J'y ai mis ma petite touche fantaisiste.
En 2009, lors des Journées de la Culture, la Ville de Lévis a fait une vidéo pour son site et la présentation débutait avec la photo de cette toile. Elle y figurait toujours en 2011.
Cette toile m'a enfin consolée de la perte de «Belles, belles , belles comme le jour».
Inspirée à partir d'une photo prise de nuit en 2006 dans mon jardin. Des tulipes blanches éclairées seulement par uine sentinelle, ses ombres et lumières en font une composition presque mystérieuse où le plan profond est très sombre. En fait, on l'ignore; il ne sert que de faire-valoir au premier plan.
Des roses-trémières! Je les adore! Ici, certains les appellent passe-roses.
Je préfère peindre les fleurs simples, car le coeur y est plus pâle, contrastant. Leurs couleurs sont chaudes et leurs pétales laissent transparaître l'étoile formée par les feuilles recouvrant la corole.
Le bleu des yeux de mon fils, un bleu unique, mais qui existe dans la nature.
Cette toile de gloires-du-matin sur fond de bardeaux a été inspirée d'un jardin modeste de la rue Wolfe.
Le soleil plongeait effrontément au fond des corolles et ces fleurs m'invitaient à les mettre en valeur.
Cette toile a été réalisée spécialement pour la Société du cancer et a été offerte à un bénévole lord d'un tirage
Encore des tulipes! Encore des blanches!
Elles me fascinent toujours; le jeu des ombres qui les entourent, toujours différent, en colore les pétales et y laisse une lumière délicate.
Le Soleil te dit:«Bonjour!» appartient à la Maison Louis-Fréchette, Lévis. Cette toile a gagné le 2e prix secteur semi-professionnel lors du concours Georges L'Hoir en 2007.
Cette toile est une étude de couleurs semi-transparentes sur fond noir. Le violet rougeâtre très intense donne un aspect velouté à ces fleurs.
Je les ai d'abord débutées en noir à l'acrylique et j'ai tenté de les colorer avec des couleurs semi-transparentes pour me rendre compte que ça ne fonctionnait pas; j'ai repris avec un gris avant d'y appliquer les roses et les violets semi-transparents.
J'ai donné cette toile pour un tirage au profit d'une oeuvre communautaire.
C'était la première fois que je voyais des pavots violet ou rosés. Je visitais le Jardin Van Den Hende de l'Université Laval, à Québec. Il n'y en avait que quelques-uns, peut-être que la saison achevait.
Des fois, je peins sur un coup de coeur; d'autres fois, un ancien projet toujours retardé ou un urgent cadeau à une jeune mère ou pour l'anniversaire d'un neveu.
Première d'une série de deux de formats différents.
Encore une toile d'une partie de champ sauvage, mais de petit format. Il y a une marguerite au point d'or.
Quand nous allions cueillir des fraises, en arrivant, tout ce qu'on ne voyait pas, c'était les fraises, mais il y avait toujours des marguerites.
Nous habitons une maison de plus de 150 ans. Je place un bécher sur le piano et j'y place des soupirs-de-bébé séchés, ceux qui étaient dans un des bouquets qui ornaient la dépouille de ma mère.
Quelque temps après, il me vient l'idée de faire de ce décor, une nature morte.
Trop accadémique, selon un expert en art.
Toile inspirée d'une sculpture à l'Hôtel de glace, près de Québec.
Je l'ai réalisée à l'École des Arts de Lévis avec la palette opaque.
Cette huile a été réalisée pendant un cours de peinture à l'Université Laval à partir d'une photo prise lord d'un symposium de peinture à St-Léon-de-Standon.
Ce que je retiens d'intéressant de ce moment, c'est que je suis demeurée sur place après 17 heures jusqu'à ce que le coq chante. Il s'est d'abord trémoussé sur la poutre, et j'attendais accroupie sur le ganoué que Monsieur daigne chanter; puis, enfin, «Cocorico!» à gorge déployée. Ça valait la peine de patienter, comme vous pouvez le constater.
Oeuvre réalisée sur Isorel en 2006.
Toile réalisée à partir d'une composition comprenant en majorité des pots transparents et d'autres de confiture; j'ai surtout travaillé les ombres.
J'ai peint cette nature morte pendant des cours à l'Université Laval, Québec, 2006.
Toile ayant l'apparence d'un monochrome.
Elle représente l'entrée principale de la maison patrimoniale que j'habitais, avant les rénovations. Composition visant à mettre en valeur l'architecture.
